Il y a peu, on vous parlait des animaux qui n’en ont rien à foutre du réchauffement climatique mais rassurez-vous, ils ne sont pas tous ainsi. Blague à part, si tous les animaux ont une utilité dans l’écosystème, certains ont l’air de bosser un peu plus que les autres si vous voulez mon avis.

L'abeille

Oh bah oui évidemment les abeilles on les fout en tête de ce top. D’abord parce qu’elles contribuent à la pollinisation de 80 % de plantes sauvages et 75 % de plantes cultivées. Or ce gros boulot qu’elles abattent permet tout simplement la survie des plantes. Bref, un monde sans abeille n’est tout simplement pas envisageable.

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Les petits-gris

Les escargots ne servent pas que à être mangés avec du beurre à l’ail, certains d’entre eux ont une utilité que vous n’aviez certainement pas soupçonné comme le petit-gris. Du haut de ses 5 grammes, ce charmant petit animal a une passion dévorante pour le plomb qu’il aspire en se déplaçant sur le sol par exemple. En quoi ça nous intérresse ? Eh bien en analysant leur tissus on peut évaluer le niveau de métaux présents dans les sols d’une région. Des infos plutôt pratiques.

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Cette crevette minu

Deux centimètres et toutes ses dents, la gammare squatte surtout dans les rivières en Europe. Un peu comme le petit-gris son rôle va être avant tout celui d’un bio-indicateur puisqu’elle permet d’évaluer le niveau de pollution de l’eau. Etant très sensible aux insecticides, il suffit d’analyser l’évolution du comportement de quelques spécimens à quelques semaines d’intervalle pour en savoir plus sur les différents polluants contenus dans l’eau.

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Le mulot

En 2006, une équipe de chercheurs à pu faire des prises de sang sur 3000 mulots sur l’ancien site de Metaleurop dans le Pas-de-Calais. Les résultats ont pu révéler la concentration en métal des sols ainsi que son niveau d’acidité. En soi le mulot ne fait pas grand chose mais un peu comme les animaux susmentionnés, il nous apporte de précieuses informations.

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Ces têtards qui deviennent fluo en présence de perturbateurs endocriniens

Bon en fait on les aide un peu… Des chercheurs ont injecté des oeufs d’une grenouille dotée d’une capacité de fluorescence quand son hormone thyroïdienne est perturbée, afin de les « augmenter » génétiquement. Le niveau de luminosité des têtards permet ainsi d’évaluer leur exposition à des perturbateurs endocriniens. Si vous voulez en savoir plus je vous recommande cet article follement complet.

Le tapir

Le tapir n’a pas qu’un nom rigolo. C’est aussi un sérieux allié. Avec sa tronche de cochon interstellaire, il agit durablement sur la biodiversité en se nourrissant de 300 espèces végétales dont il dissémine les graines par ses excréments ce qui permet de régénérer les forêts tropicales.

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La loutre des mers

En plus d’être extrêmement mignonne, la loutre des mers fait un super boulot. A force de bouffer tout et n’importe quoi et surtout des oursins, elle protègent certaines algues comme le varech (l’oursin étant un gros bouffeur de varech, la loutre qui bouffe l’oursin protège le varech, cqfd ma soeur). Voilà comment la loutre se rend indispensable à la stabilité de l’écosystème.

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L'éléphant de forêt

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, les éléphants ne sont pas que des gros balourds qui marchent lentement. En Afrique centrale, ils jouent un rôle primordial dans la préservation des forêts par un stratagème inattendu : en écrasant les buissons avec ses grosse papattes, il permet aux arbres de mieux se développer. Et les arbres, je sais pas si vous êtes au courant mais ça capture le CO2. Bien pratique ces p’tites bêtes.

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La baleine

Comme à peu près tout ce qui se trouve dans l’océan (et l’océan lui-même d’ailleurs), la baleine joue un rôle fondamental pour lutter contre le réchauffement climatique puisqu’elle capture le CO2 (par dizaines de tonnes) et l’emporte avec elle dans le fond de l’océan quand elle passe l’arme à gauche. Par ailleurs, elle nourrit tous les petits phytoplanctons de ses excréments (oui, la merde de baleine est bien plus utile que la nôtre, je sais que ça fait du mal à entendre mais c’est bien le cas). Or les phytoplanctons fournissent 40 % de l’oxygène qu’on respire (c’est quatre fois plus que la forêt amazonienne cette grosse naze).

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Les moustiques

Eh oui mes p’tits potes, les moustiques étant un des animaux les plus dangereux pour l’humain, l’humain étant le plus gros pollueur de la planète, on peut remercier aux moustiques de nous mettre la misère.

AaaaaaHA VOUS VOUS ATTENDIEZ PAS À ÇA JE VOUS AI BIEN MOUCHÉS MA PAROLE.

Source : Ça m’intéresse, WWF