Les Kogis (Colombie)

Les mecs sont habillés en toile blanche qu’on dirait qu’ils vont jouer sur le Central à Wimbledon. Maxi-classe. Surtout que leurs sacs sont copiés par tous les hipsters du monde. Et pendant ce temps-là, les Kogis crèvent toujours un peu plus dans la région de Palomino, en Colombie.

Les Hmongs (Sud de la Chine, Vietnam, Laos)

Des couleurs partout. Cette minorité qui s’étend du Sud de la Chine jusqu’au Laos et au Vietnam est réputée pour la beauté de ses costumes traditionnels, qu’elle continue de porter aujourd’hui.

Les Dao (Vietnam)

En rouge et noir, j’exilerai ma peur. Les Dao, au Vietnam, ou Yao, en Chine, vivent près des rizières du Sud de la Chine et au Vietnam. Ils portent des tenues colorées, notamment roses, rouge et noires. Les femmes arborent de très très longs cheveux regroupés en tresses.

Les Akhas (Laos)

Ces habitants des montagnes chinoises que l’on retrouve aussi au Laos, en Thaïlande ou en Chine ont des tenues de toutes les couleurs et sont notamment connus pour leurs chapeaux à froufrous à faire pâlir d’envie tout babos qui se respecte.

Les tenus traditionnelles algériennes

Le caftan est une robe traditionnelle, déclinée aussi en gilet, avec des broderies sur sa face avant. Un travail minutieux et magnifique, que l’on retrouve dans tout le monde arabo-musulman sous différentes formes et dont l’origine est perse.

Les Chiang Mai (Thaïlande)

Là encore, un max de couleurs, notamment dans les roses, les orange et les verts. L’ethnie a donné son nom à la ville de Chiang Mai, la troisième plus grande de Thaïlande. Rares sont les populations à encore porter l’habit traditionnel, mais elles existent.

Les tenues traditionnelles bulgares

Sous l’influence tzigane et russe, les Bulgares, peuple de bergers, ont développé des tenues traditionnelles encore largement portées dans certaines zones rurales du pays. Et elles sont ultra belles.

Les Tagalogs (Philippines)

Le Baro’t saya est le costume traditionnel philippin. Il se décline en plein de modèles différents. Sa version la plus classique est ce madras de couleurs proche des robes créoles. Le Baro’t saya existait avant l’invasion portugaise, mais s’est enrichi du syncrétisme des cultures.