La torture, d’hier d’aujourd’hui ou de demain, c’est toujours un truc assez moche (voire pas très cool) sur le plan éthique. Et même si tu détestes vraiment beaucoup quelqu’un (genre un mec qui n’avançait pas vite dans le métro), tu ne peux souhaiter à personne de subir pareille souffrance. Sélection des pires tortures dégueu de l’histoire, pour t’entendre faire des “arg” et des “raaaah” à la lecture de ce top.

Être cousu dans un âne

Une jolie pratique qui nous vient de l’Empire romain. On tue un âne (le petit chanceux), on lui ouvre le bide et on lève ses entrailles. On y insère tout nu le préposé à la torture, mais on laisse juste sa tête or de la bête (pour pas qu’il meure tout de suite quand même, SYMPA). Après on met au soleil l’âne mort de façon à ce que le corps cuise dans les entrailles de la pauvre bête et qu’il s’ensevelisse d’asticots et que les vautours viennent le picorer.

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La castration publique

Durant l’antiquité, plus le statut était élevé plus il permettait de coucher avec n’importe qui en dessous de sa classe sociale. L’inverse étant bien entendu moins concevable et si un citoyen lambda se tapait un soldat non consentant, il était condamné à une castration publique. S’il s’avère en revanche que le soldat était consentant, il était alors démembré.

Être enduit de miel et de lait ? Bah ça va en fait !

Sauf qu’après la victime était enfermée dans un tonneau et forcée de se nourrir des parasites développés par la pourriture de son corps. Au bout de deux semaines de torture, la victime avait alors le privilège d’être érigée en martyr chrétien, LA CHANCE.

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L’urètre soudé

L’empereur Tibère dans l’histoire de Rome foutait carrément les miquettes, et pour cause. Il était ultra fan de la torture (en même temps, à l’époque y’avait pas M6, faut le comprendre aussi). Sa cible préférée ? Le pénis. Il aimait tout particulièrement faire boire ses victimes à gogo avant de leur coudre l’urètre pour les empêcher d’uriner. FIESTA !

La complète

Tout comme Tibère, Caligula n’était pas connu pour être un tendre. Après avoir poignardé un sénateur, le type n’étant pas totalement mort, il lui aurait fait énucléer ses yeux, puis retirer ses organes un à un à l’aide d’une grosse pince. Et puis à la fin, lassé, il l’a fait couper en deux.

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Livré en pâture à des porcs sauvages

Une technique qu’on a pu voir mise au goût du jour dans Hannibal où Verger (Gary Oldman) se fait bouffer par des sangliers affamés. Une pratique également romaine destinée aux vierges qu’on mettait nue dans une arène, les entrailles à vif fourrées d’une poignée de blé. Un véritable délice, pas ultra vegan j’en conviens mais diablement divertissant.

L’essaim d’abeilles VENER

Encore un truc bien tapé. Mettre le torturé tout nu (de façon générale, on aime bien que le torturé soit tout nu) dans un grand panier qu’on hisse en haut d’un arbre à côté d’une belle grosse ruche qu’on va énerver suffisamment pour qu’elle jette son dévolu sur la victime.

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Enterré vivant

C’était le péché mignon de l’empereur Néron surtout pour les vierges qui avaient rompu leur vœu de chasteté. Il leur créait une tombe dans lequel ces vilaines vierges pouvaient allègrement mourir de faim.

Le coup du chaudron

Dans ce cas précis, vous aurez besoin d’un animal affamé de type rat, chat ou chien que vous placez dans un petit chaudron au-dessus duquel vous disposez le torturé. Le chaudron commençant à chauffer (c’est normal, il fait son travail de chaudron), la petite bête qui n’a aucune envie de se faire cuisiner vivante va alors tenter de s’échapper à travers les chairs de la victime. TROP CHOUPI.

La crucifixion, un grand classique

Elle n’impliquait pas toujours de clouer l’heureux élu à une croix, le plus souvent, l’accusé était …nu (bah oui), sa tête couverte et il était attaché par terre à une croix sur laquelle on pouvait le fouetter. Ensuite, si et seulement s’il n’était pas mort, on pouvait enfin clouer ses mains et ses pieds à une poutre et le hisser en hauteur en attendant tranquillement que la mort ne le délivre.

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Source : Listverse