Tokyo

Bravo l’originalité, aller dans un pays pour visiter sa capitale… Ben ouais, mais c’est un incontournable. Tokyo n’est pas qualifiée de cosmopolite pour rien. Tokyo, c’est la modernité et la tradition qui vivent en harmonie, c’est la ville électrique d’Akihabara d’un côté et le quartier folklo d’Asakusa de l’autre, et tant d’autres choses encore… et oui, c’est beau.

Kyoto

Sans surprise, Kyoto est aussi un must à voir au Japon. Ville-musée, son centre historique préservé nous renvoie des siècles en arrière, et la ville est l’écrin de temples parmi les plus majestueux du Japon : le Fushimi Inari, le Kyomizu-dera… et Arashiyama, un rêve entre nature et recueillement. Magique et mythique.

Osaka

Osaka, c’est un peu LA ville de la chouille au Japon, aussi délurée que sa voisine Kyoto est solennelle. Mais pas que : on y trouve aussi le premier temple bouddhique du Japon, et une baie avec plein de « plus » : plus haute grande roue du monde, plus grand aquarium du monde…

Hiroshima

Quand on te dit beau, tu penses pas tout de suite à Hiroshima, et c’est un tort. C’est beau et c’est fort, comme une ville qui a morflé grave et qui s’est reconstruite malgré tout, en transformant ses stigmates en message puissant… Au large, on profite de Miyajima, une île superbe considérée comme l’un des 3 plus beaux sites du Japon.

Nara

Nara, c’est la ville mascottes japonaises, inspirées par la présence de daims partout dans la ville, et en particulier dans l’immense parc. Cette ville donne ton sons sens à cet incontournable mot japonais stylé : kawaii. En tant que première capitale du Japon, Nara n’est pas en reste niveau monuments avec notamment le Todai-ji, et d’autres temples, le tout classé patrimoine mondial de l’UNESCO.

Sapporo

Hokkaido, l’île du nord du Japon, n’est pas forcément en top-list des destinations japonaises et pourtant elle ne manque pas d’intérêt, en particulier avec Sapporo, sa capitale, et le parc Odori au cœur d’une ville construite sur un plan en damier. À visiter en février, pour voir le féérique Yuki Matsuri, le festival de la neige.

Nikko

La ville moderne n’a peut-être pas grand intérêt, mais c’est dans les montagnes environnantes que se nichent les perles de Nikko, des temples majestueux au cœur de la forêt d’un parc national. Le plus connu, le Toshogu, est orné d’incroyables décorations colorées qui devraient, si tu nous passes l’expression, te laisser sur le cul.

Iriomote

Iriomote n’est pas une ville mais une île, paradisiaque même, dans la préfecture d’Okinawa. Mention spéciale pour sa surface recouverte à 90% d’une forêt type jungle, avec pour couronner le tout une race de chats sauvage qu’on ne trouve que là-bas. Le reste, c’est plage de rêve (gaffe aux méduses quand même).

Kamakura

Petite ville de la zone balnéaire du Shonan, au sud de Tokyo, Kamakura vaut particulièrement le détour pour son grand Bouddha assis de plus de 11 mètres de haut. Marre des temples ? Pas de souci, attrappe ta planche et va défier les vagues, car c’est ici le spot de surf des Tokyoïtes.

Koya-San

Une visite au Mont Koya, c’est l’assurance de passer un moment dans un des endroits les plus mystiques du Japon. Déjà, il faut y monter par un funiculaire assez raide, qui t’indique un peu que ce coin-là, il se mérite. Ensuite, à la tombée de la nuit pour plus d’effet, tu vas te balader dans Okunoin, le plus grand cimetière du pays, à l’atmosphère unique.